Déplacement à Anglet en petit comité pour notre PNM dans le cadre de leur seconde journée de championnat.Avec le soldat Guizmo perdu dans l’espace temps tel Marty McFly dans « Retour vers le futur III », le lieutenant Saquet appelé à la rescousse dans la lointaine contrée de La Rochelle, et l’agent spéciale Laclau blessé à la cuisse lors d’une mission mercredi, les troupes de la ruche était sérieusement réduite…

Mais à vaincre sans péril on triomphe sans gloire comme le dirait notre ami Godefroy de Montmirail

     De plus une belle et mauvaise surprise nous accueillit devant la salle. A peine arrivé devant la salle, qui nous attendait tapis dans l’ombre ? L’ami Benjamin Brizard une veille connaissance et ami du club de St Jean d’Illac ! Bon on rigolait nettement moins quand on l’a vu se changer dans les tribunes, on va pas se mentir… Bref le match commença. Un excellent 4-2 était composé pour l’occasion par le coach illacais. Avec Destruhaut (aîné) et Espadinha en maître distillateurs et artificiers Première classe, les jeunes Capdeville et Assani-Vignau dans le bataillon central, et les commandants de cavalerie sur les côtés Harrouard et Plantey. On gardait le jeune Destruhaut en impact player !!

Malgré des belles remontées dans les deux premières batailles,les soldats illacais durent battre en retraite…

Mais à vaincre sans péril on triomphe sans gloire comme le dirait notre ami Godefroy de Montmirail

     Cependant, les assauts menés tel des guérillas urbaines organisées pendant les deux premières batailles déstabilisaient les fondations des adversaires du jour. Jusqu’à ce qu’on pourra appeler « la préparation du Pop-corn ». Le 3ème set débuta et les premiers effets de la guerre d’usure entamée depuis le début du set commencèrent à se manifester. Assani contra quelques fois les assauts adverses, le contrôle du terrain fut mené de main de maître par Harrouard et des escarmouches exceptionnelles des métronomes Destruhaut (aîné) et Espadinha rendait fou les joueurs adverses… surtout un…. qui finit par balancer ce que le coach Gomez se plaît à appeler « un gros star-shoot qui mériterait une biscotte Monsieur l’Arbitre » … Les effets de cette guerre d’usure atteint son apogée vers la fin du set avec la sortie du « passeur » adverse et de notre ami Benjamin.

Cet état de grâce continua de faire effet lors du set suivant jusqu’à ce que nos efforts se firent sentirent et que nos forces diminuèrent (au sens propre comme au figuré!!)… Mais…

… A vaincre sans péril on triomphe sans gloire comme le dirait notre ami Godefroy de Montmirail.

… et alors que les joueurs sentirent leurs âmes guerrières se réveiller au son du clairon, ils arrachèrent quand même l’issu de la bataille…

    Tie-break… leurs forces quittèrent peu à peu nos soldats de la ruche… il était tard.. la journée avait été longue.. nous faisions le dos rond sous les coups ennemies… mené 7-0, nous cherchions des solutions pour nos tirés de ce guêpier

On a finit par battre en retraite sur le score de 15-9 grâce à une belle série du Capitaine Harrouard comme un sursaut d’orgueil…

Et après avoir signer le traité de paix… on est allé se bouffer un bon gros tacos sec comme l’enfer parce qu’il restait que de la viande hachée sans sauce, sans fromage, sans bacon et surtout sans frites…

Mention spéciale : Capdeville qui a eut le droit à un rebond avant sa défense du pied

Attaque spéciale : Destruhaut (aîné) « vise les étoiles, tu péteras les louches de Brizard » (je suis un poéte)

EL RENARDO ENMASCARADO